En février 2006, lors de l'exposition Carnet urbain à la galerie Espace à Montréal, j'ai partagé pour la première fois ma perspective à travers mes photographies. J'ai capturé des objets et des surfaces en plans très rapprochés, les rendant méconnaissables.
Les visiteurs de l'exposition ont été surpris en découvrant que les œuvres étaient des photographies et non des gravures. Leur étonnement s'est accentué lorsqu'ils ont appris la véritable nature des images, qu'il s'agisse de béton endommagé, de rouille sur un chantier de construction, ou même de l'intérieur d'un conteneur à déchets. Qui prend le temps de remarquer ces éléments ou de les apprécier pleinement ?
Voici ce dont vous bénéficiez: